Uther
Le roi n'est, en ce moment, pas gâté par les dieux. Son peuple veut le renverser, tout comme les autres nations. Et de surcroît, rien ne va plus avec sa femme. Depuis six mois, elle ne lui adresse plus la parole. Même en cas d'urgence, elle envoie un page lui transmettre un message. En public, ils jouent le couple parfait, quoi qu'un peu timoré. Mais en privé, leur façade tombe, et c'est avec la plus grande froideur que chacun s'adresse à l'autre.
Sa quête à la recherche d'Excalibur semble bel et bien vaine. Mais que faire alors ? Pour rassurer le peuple, il continue. Il se déplace lui même, et, depuis dix-huit mois, arpente le pays à la recherche de l'épée sacrée. Il sait parfaitement que l'épée ne sera pas cachée dans un fourré.
Bien que cela fasse des siècles que l'Epée a été reprise par les eaux, depuis toujours il espérait la recevoir Il redoute parfois que la Dame du Lac l'aie déjà confiée à quelqu'un d'autre, quelqu'un de plus digne. Si cela se trouve, en ce moment même, quelqu'un fait marche vers le château, quelqu'un porte à sa ceinture le fourreau d'Excalibur, quelqu'un vient prendre la relève. Et que sera-t-il alors ? Rien. C'est la seule réponse possible. Un vague descendant d'un rustre au nom prometteur. Pendragon. Ce nom ne signifie donc plus rien ? Aux yeux de l'entité gardienne de l'épée, apparemment non...
°Topics possibles°
- A la recherche d'Excalibur.
- Une dispute entre souverains.
- Une réunion en salle de crise (à propos de la guerre)
- ...
Je sais que c'est très vague, je n'avais pas beaucoup d'idée pour ce personnage. Tu es bien sûr autorisé et même encouragé à inventer plus sur tes faits et gestes et ton état !Océane
Que de morosité dans les yeux de la reine ! Mais aussi, quel mari arrogant et provocateur ! Voilà qu'il était persuadé d'être digne d'Excalibur, malgré le fait qu'elle ait été portée disparue plusieurs siècle auparavant ! En Germanie, elle s'était pourtant follement amusée. On avait fait des bals en son honneur, pour célébrer la (courte) alliance. Elle avait rencontré des jeunes gens passionnants, participé aux gloussements des filles de la cour...
Depuis quelques temps, les dames de compagnies surprennent souvent Océane assise par terre, se cachant le visage de ses mains. Par respect et par affection, elles se retirent et referment doucement la porte. Mais est-ce la chose à faire ? Ne faudrait-il pas plutôt aller à elle, lui prendre les mains et la réconforter ?
Son pays d'origine, malgré le fait qu'elle ne l'aie pas beaucoup connu, manque à la reine. Elle repense à son enfance heureuse, encadrée de son père et de sa mère. Pourquoi avait-il fallu que ce mariage diplomatique lui tombe dessus ? Pourquoi avait-il fallu que Morgane enrôle sa mère ? Toutes ces réflexions la faisaient s'éloigner du roi, qu'elle n'avait toujours pas réussi à aimer. Et l'éloignement se mua peu à peu en froideur...
Elle est malheureuse, sans savoir réellement pourquoi. Elle prend de plus en plus plaisir à se frayer à la population, en se déguisant bien sûr. La taverne a un attrait très fort, mais elle n'a toujours pas cédé à son envie, de peur de se faire reconnaitre et que son mari en aie vent.
°Topics possibles°- Une dispute entre souverains.
- En salle de crise (étant une femme autoritaire et se mêlant beaucoup du gouvernement).
- Dans les rues.
- A la taverne.
- Auprès de Merlin, qui lui a avoué qu'il organisait une révolte.
De même c'est très vague, mais j'essaie de vous laisser de l'espace pour l'imagination. Je ne vais pas faire le travail à votre place, non plus ! Tu es bien sûr autorisée et même encouragée à inventer plus sur tes faits et gestes et ton état !